Samedi, je vais au club et je prends la météo pour avoir confirmation de ce que je vois par la fenetre..le ciel est bleu avec quelques nuages, mais le vent souffle fort…entre 15 et 45 kt sur le terrain a 11 heures du matin…
Je fais ma prévol par acquis de conscience, me demandant si la manche a air qui se trouve devant le hangar ne va pas se decrocher. Le vent tourne sur 90° et la manche est bien a l’horizontale. Philippe arrive, nous prenons l’ATIS ensemble, le vent est de 15 a 25 kt en rafales, donc nous decidons de prendre l’avion.
Au menu, travail sur les VOR. On part direction Coulommiers, avec le radial 128, on fait quelques evolutions pour se “desorienter” un peu, on prend le VOR de Chatillon, on oblique pour rejoindre le radail, on se dirige dessus en tenant compte de la dérive, et Philippe me demande : ” Tu vois le VOR ?”. Je regarde droit devant, etant sur le radial et sur le bon cap, et je répond “Je vois rien”. Nous volons encore 10 secondes et Philippe me redemande “Tu vois le VOR ? ” Je regarde le plus loin possible (je suis a 2500 pieds..) et apercoit au bout d’un champ, devant une foret ce que je nomme une “cabane de priere tibetaine”, le VOR de Chatillon. (bon, pour ceux qui trouverait que cette expression n’est pas conforme a la description d’un VOR, je vous renvoi vers Google et vous invite a regarder le VOR de Chatillon en photo…cela ressemble, vu de 2500 pieds a cela…

Bien sur, c’est plus petit…, c’est juste pour etayer mon propos..)(merci a l’auteur de la photo)
Nous evoluons encore quelques fois et je dois retrouver la direction de Coulommiers en me servant du VOR. Je fais les calculs dans ma tête (e qui me prend 10 bonnes secondes… ) je tourne la molette dans un sens puis dans l’autre car je suis un peu rapide, pendant ce temps, je pilote de la main droite, je ne regarde pas dehors et je perds 200 pieds…ce n’est pas dramatique car j’etais a 2500, mais bon, cela prouve bien que lorsque l’on est occupé par une tache consommant de la ressource mentale, on doit avoir des automatismes pour controler le reste, au moins l’altitude et l’assiette. J’arrive a intercepter le radial de Coulommiers, prends le radail pour Meaux (306) et fais ma radio d’arrivée, une integration standart 1500 pieds et je me pose (un petit peu secoué a cause du vent…) en 25.
Une bonne leconsur les VOR qu’il me faudra surement reprendre, mais je commence a mieux comprendre.
L’apres midi se termine par une “tarte aux pommes - cidre” en compagnie de nos amis de l’ACE.
Je fais ma prévol par acquis de conscience, me demandant si la manche a air qui se trouve devant le hangar ne va pas se decrocher. Le vent tourne sur 90° et la manche est bien a l’horizontale. Philippe arrive, nous prenons l’ATIS ensemble, le vent est de 15 a 25 kt en rafales, donc nous decidons de prendre l’avion.
Au menu, travail sur les VOR. On part direction Coulommiers, avec le radial 128, on fait quelques evolutions pour se “desorienter” un peu, on prend le VOR de Chatillon, on oblique pour rejoindre le radail, on se dirige dessus en tenant compte de la dérive, et Philippe me demande : ” Tu vois le VOR ?”. Je regarde droit devant, etant sur le radial et sur le bon cap, et je répond “Je vois rien”. Nous volons encore 10 secondes et Philippe me redemande “Tu vois le VOR ? ” Je regarde le plus loin possible (je suis a 2500 pieds..) et apercoit au bout d’un champ, devant une foret ce que je nomme une “cabane de priere tibetaine”, le VOR de Chatillon. (bon, pour ceux qui trouverait que cette expression n’est pas conforme a la description d’un VOR, je vous renvoi vers Google et vous invite a regarder le VOR de Chatillon en photo…cela ressemble, vu de 2500 pieds a cela…

Bien sur, c’est plus petit…, c’est juste pour etayer mon propos..)(merci a l’auteur de la photo)
Nous evoluons encore quelques fois et je dois retrouver la direction de Coulommiers en me servant du VOR. Je fais les calculs dans ma tête (e qui me prend 10 bonnes secondes… ) je tourne la molette dans un sens puis dans l’autre car je suis un peu rapide, pendant ce temps, je pilote de la main droite, je ne regarde pas dehors et je perds 200 pieds…ce n’est pas dramatique car j’etais a 2500, mais bon, cela prouve bien que lorsque l’on est occupé par une tache consommant de la ressource mentale, on doit avoir des automatismes pour controler le reste, au moins l’altitude et l’assiette. J’arrive a intercepter le radial de Coulommiers, prends le radail pour Meaux (306) et fais ma radio d’arrivée, une integration standart 1500 pieds et je me pose (un petit peu secoué a cause du vent…) en 25.
Une bonne leconsur les VOR qu’il me faudra surement reprendre, mais je commence a mieux comprendre.
L’apres midi se termine par une “tarte aux pommes - cidre” en compagnie de nos amis de l’ACE.
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