samedi 22 décembre 2012

Des patates "wifi" ?

Il semblerait que nos amis de Boeing, jamais a court de bonnes idées, souhaitent installer le wifi a bord des appareils. Mais comment tester le wifi et ses ondes "dangeureuses"...simple, prenons des pommes de terres..et attendons....Peut etre une nouvelle recette de frites ? Voici cet article :

Le saviez-vous ? Quand il s’agit de WiFi, nous sommes tous de vraies patates. Explications : afin de tester le comportement des ondes WiFi dans une cabine d’avion en vue d’en équiper prochainement les vols commerciaux, Boeing mène une étude avec des pommes de terre.
Selon les scientifiques qui conduisent cette batterie d’analyses on ne peut plus sérieuses, transformer l’intérieur d’un aéronef en champ de patates permet d’obtenir des résultats sur la propagation et l’absorption des ondes WiFi tout à fait similaires à ceux que l’on aurait avec des humains (car généralement ce sont plutôt des humains qui voyagent en avion).

Du coup l’expérience est bien plus facile, rapide et moins coûteuse à mener, et si la patate fait avancer la science et nous permet bientôt d’avoir internet en avion, allons-y. Pour mener l’expérimentation, Boeing utilise 20.000 livres de pommes de terre, mais dans la vidéo si-après, le géant de l’aéronautique explique que l’optimisation du WiFi dans les airs ne se limite pas à cultiver des patates. D’autres paramètres entrent bien sûr en ligne de compte, qui compliquent sérieusement la tâche consistant à trouver le bon équilibre entre la puissance du signal et l’absence de perturbations pour les instruments de bord.

Quoiqu’il en soit, devant la pression des passagers et la percée de l’internet mobile, les compagnies aériennes et les autorités de régulation ne peuvent plus rester immobiles, et les tests se multiplient pour permettre aux voyageurs non seulement de surfer sur internet en vol mais également de pouvoir utiliser leurs instruments électroniques pendant les phases de décollage et d’atterrissage, ce qui est pour le moment strictement proscrit. Il est vrai que – sans même être complètement accro à sa tablette à à sa liseuse d’e-books – devoir tout couper pendant environ vingt minutes au départ et à l’arrivée alors que vous êtes juste en train de lire, en mode avion, déconnecté, peut être parfois un peu agaçant. Mais cela ne sera peut-être bientôt plus qu’un mauvais souvenir.

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